Grâce à Tudigo, vous pouvez investir dans des PME françaises, et ce de deux façons différentes : en souscrivant à des actions ou bien à des obligations ! L'instrument financier va dépendre de la levée de fonds et plus précisément du choix fait par le dirigeant de l'entreprise.
Investir responsable et donner du sens à mon épargne oui… mais concrètement, comment ça fonctionne ? Quelle est la différence pour l'investisseur ?
→ Les actions sont des titres de propriété d’une entreprise et leur possession confère des droits sur l’entreprise émettrice de ces titres. Si demain, vous décidez d’acquérir des actions d’une société, vous allez acquérir la qualité d’associé/actionnaire et à ce titre pouvoir participer à la vie de l’entreprise (assister aux Assemblées Générales, répondre aux sollicitations de l’équipe dirigeante pour une étude de marché, etc…).
→ Les obligations sont des titres de créances que peuvent émettre les sociétés. Elles sont représentatives d’une dette financière et fonctionne relativement comme un prêt bancaire classique accordé à l’organisme émetteur. Bien que vous puissiez participer à la vie de l'entreprise, les droits qui y sont rattachés sont surtout financiers.
Etre actionnaire implique généralement de disposer de deux prérogatives :
→ Le droit de vote. Exercé lors des assemblées générales de la société, le droit de vote attaché à une action permet à son détenteur de participer aux principales décisions de l'entreprise. Le pouvoir de l’actionnaire est proportionnel au nombre d’actions qu’il détient : une action correspond généralement à une voix.
→ Le droit aux dividendes. Dans l’hypothèse où les comptes de l’exercice clos révèlent un bénéfice distribuable, les actionnaires peuvent prétendre à en recevoir une partie. Cette distribution est de la compétence de l’assemblée générale annuelle ordinaire et les modalités sont définies dans le pacte d’actionnaires.
Outre la possibilité de recevoir des dividendes, le retour sur investissement peut s'exprimer par un autre moyen : la plus-value de cession.
À la fin de la période de détention, vous revendrez vos parts acquises lors de la levée de fonds au porteur de projet lui-même ou à des investisseurs externes (fonds d’investissement, grand groupe, investisseur privé…). A cette occasion, vous pouvez potentiellement bénéficier d’une plus-value, l’action ayant pris de la valeur.
Le montant du rachat a été prévu à l’avance en fonction de la capacité de l’entreprise à générer une trésorerie suffisante. Dans le cas où le projet ne s’est pas développé aussi bien que prévu, des clauses de rendez-vous permettent de trouver un compromis entre le porteur de projet et ses actionnaires (rachat par un investisseur tiers, report du rachat…).
L’obligation est rémunérée via un canal principal : les intérêts, payés tous les ans de façon générale et calculés selon un taux d’intérêt sur le capital restant dû de l’obligation.
Une obligation peut être de deux types :
→ simple
→ convertible
Généralement, le nominal est remboursé tous les ans d’un montant identique (ce montant est appelé « amortissement »). Mais si l'obligation est "in fine", la totalité du nominal est remboursée en intégralité le dernier jour de l’échéance (les intérêts restent quant à eux versés tout au long de la durée de vie de l’obligation).
Sur une obligation simple "classique", les intérêts sont calculés sur la base du capital restant dû sachant que les échéances de remboursement sont constantes. Moralité, l'investisseur perçoit plus d'intérêts en début de période qu'à la fin, le capital restant qui lui est dû diminuant (car remboursé à chaque échéance).
Exemple : capital de 5 000 €, intérêt de 5%, amortissement constant en 5 ans.
- L’année n+1, l’investisseur reçoit 1 000 (amortissement du capital) + 5% x 5 000 (intérêts sur capital restant dû) = 1 250 €
- L’année n+2, l’investisseur reçoit 1 000 + 5% x 4 000 = 1 200 €
Ainsi de suite… Au bout de 5 ans, le capital est entièrement remboursés, et les intérêts cumulés s’élèvent à 750 €.
Le rendement de l'obligation simple in fine est supérieur à celui de l'obligation simple amortissable car les intérêts sont calculés sur la base du capital initial jusqu'à la fin, ce dernier n'étant remboursé que "in fine" (en fin de période donc).
Exemple : capital de 1 000 €, intérêt de 5%, remboursement in fine au bout de 5 ans.
- L’année n+1, l’investisseur reçoit 5% x 1000 = 50 €.
- L’année n+2, l’investisseur reçoit 5% x 1000 = 50 €.
- Ainsi de suite… A la cinquième année, la totalité du capital est remboursée en une fois, et les intérêts cumulés s’élèvent à 250€.
Une obligation convertible est une obligation à laquelle est attaché un droit de conversion qui offre à son porteur le droit et non l’obligation d’échanger l’obligation en actions de cette société, selon une parité de conversion préfixée et dans une période future prédéterminée.
L’obligation convertible est rémunérée par deux biais :
→ Les intérêts secs, payés tous les ans et calculés selon un taux d’intérêt sur le capital de l’obligation (intérêts constants, comme dans l’obligation in fine)
→ La Prime de Non-Conversion (PNC), payée in fine lors du remboursement du capital de l’obligation. La PNC rémunère la non-activation de l’option de conversion.
Investir comporte des risques d’illiquidité et de perte totale ou partielle du capital ou du montant investi.
Avant d’investir, TUDIGO vous invite à lire attentivement le document d’information synthétique réglementaire ainsi que la note d’investissement et notamment la section dédiée aux risques.
Enfin, nous recommandons de n’investir que dans des projets que vous comprenez et jamais plus de 10% de votre patrimoine.
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